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@Kwame42 @Keltounet @JeromeColombain De base il ne permet pas la résistance à la coercition ou la vérifiabilité locale ou la vérifiabilité globale. Il est donc moins sécurisé que le vote à l’urne. Point.Permalink On twitter.com
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@Kwame42 @Keltounet @JeromeColombain Et il n’y a pas besoin d’avoir un master en math pour comprendre l’incompatibilité entre vérifiabilité locale et résistance à la coercition. Si je peux vérifier mon vote, alors je peux lever mon anonymat a posteriori, donc je ne suis plus résistant à la coercition.Permalink On twitter.com
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@Kwame42 @Keltounet @JeromeColombain Les preuves mathématiques des autres exclusions sont à peine plus complexes mais ne tiennent pas dans un tweet. Elles sont dispos ici : lsv.fr/Projects/anr-avote/PUBLIS/CFPST-08.pdfPermalink On twitter.com
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@Kwame42 @Keltounet @JeromeColombain Le vote à l’urne permet de concilier tout ça via la limitation géographique et temporelle de la vérifiabilité locale. Passé le dépouillement, les données nécessaires sont (physiquement) détruites et non reproductibles. Les données numériques ne peuvent être garanties « détruite »Permalink On twitter.com
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@Kwame42 @Keltounet @JeromeColombain Bref, le vote électronique nécessitera de rogner sur la sécurité et la démocratie du vote à l’urne, le tout pour servir d’argument technologiste au problème sociétal des politiques qui font des programmes qui n’intéressent personne et prennent les gens pour des cons post-électionOn twitter.com
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